Alors oui, donc, ce vernissage...

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Vernissage Orkadre. Vendredi 15 septembre 2006

La veille.
Jeudi. Tard dans la nuit.
Les doigts (les genoux aussi) pleins de peinture, je signe encore les deux dernières toiles, puis ceinture quelques Orkadres de bandes orange fluo… je tombe dans mon lit. Net.
Vendredi - 8h00 – le réveil sonne.
Outch ! Déjà ? Surtout pas de « encore 5 min. ». Pas ce matin. Je désactive l’alarme de mon portable, et file sous la douche. Sans me cogner.

8h30.
Angel frappe à ma porte. Petit baiser d’encouragement. Mais je la vois déjà s’évaporer, avalée par son rendez-vous d’une demi-heure plus tard.

9h00.
Fabrice arrive. J’ai déjà tout descendu. Toiles enroulées dans mes torchons les plus propres. La plus grande dans une serviette de bain. Cartons remplis, nœuds serrés, mannequin allongé. Voiture blindée.

10h00.
On pose tout en vrac dans la galerie. Je ne suis pas encore réveillé. Un café ? Oui. Non. Je sais plus. Puis l’installation. Elle prend forme petit à petit. Les murs de couleur sont de bon augure. Un peu de patafix pour présenter. Des clous pour enfoncer. Le temps passe. J’ai de quoi m’occuper…

17h00 – 18h00.
Temps mort. Quelques finitions. J’attends Laurent.

18h00.
Je le rejoins finalement à l’arrêt de bus. On va faire les courses. YARALT s’est déjà occupé de tout. On va juste ajouter notre touche perso…

19h00.
De retour à la galerie. Laurent prépare le tricycle (1/3 de calva, 1/3 de sirop de citron, 1/3 de limonade). Avec Fabrice, on peaufine. DJ Kerner entre dans la danse.

19h30.
Les premiers visiteurs s’aventurent à nous rejoindre. Bientôt, l’espace est englouti (comme la bière d’ailleurs). Va-et-vient. Flot continu. J’essaie de me rendre disponible. VATCHH ! Le tricycle, il attaque. Certains en font déjà les frais, les yeux fluorescents.

# » :^ »^é’ ??h25.
Ca se passe. Allers-retours. Dedans, dehors. Pas de pluie. Bien. Le DJ assure ! Il nous balance dans une ambiance rythmée au son NOWAVE & NEODISCO sauce Newyorkaise ponctuée de BROKEN BEAT. Funk, soul. Ca donne !

22h33. (Eclair de lucidité)
E. Kerner est parti manger. Session Dj freestyle nawak ! Destructu-break-cut-expérimental menée par Pierre-Adrien qui pousse le son. Y’a encore du monde, et même quelques bières. Les bras tendus, les gestes amples. On est moins nombreux et on fait plus de bruit.

22h45.
SPOT LIGHT ! Lumière forte. Ambiance plus feutrée du tout, qui fait comprendre à tout le monde : on est des chauves-souris. Il faut sortir. Vite ! Ou les voisins vont nous planter un pieu dans le cœur.

23h00.
Dans la rue, les derniers conquérants. On part dans la même direction. Arrivé à « l’Espigette », le groupe se scinde en deux. Certains rejoindront Emmanuel au resto. Nous, on part continuer la soirée plus loin. Ce soir, c’est aussi l’anniversaire de mon frérot !!!

Comments

[ponka]

Congratulation!
Glückwunsche!

b

[Mamz'L Ka]

Dans le "cinq neuf" les vernissages* sont vachement plus conventionnels (*innauguration de la fresque du Frelon au Skate Park de Lille) : Biere ou Mousseux ;( Y avait bien des velos mais c'etaient des BMX, pas des tricycles ! En attendant, je note la recette ! Peace and Hips From Lille City !

[honda]

est alor qui a vomis 1er?

[jp]

Ah les jours de vernissage sont si différents qu'on devrait les vivre.

[oKaNe]

Yipiiiiiiiii !!